Premier Whisky de Guyane Française

L’ile du diable

Devil’s Island Whisky

2028

Sortie de la première cuvée

Brassé, distillé, vieilli

en Guyane française

Distillerie artisanale

petite production

Single Malt

vieilli en futs de rhum vieux

Notre projet
L’Ile du Diable
le premier whisky de Guyane

Après plusieurs années de préparation, la Brasserie Guyanaise a enfin lancé son projet de whisky guyanais. Tout a été soigneusement pensé, du nom à l’étiquette, en passant par la bouteille et la communication. Cette production unique est maintenant prête à voir le jour.

Dans un premier temps, la distillerie se concentrera sur des single malts, des whiskys élaborés exclusivement à partir de malt d’orge. Par la suite, pour créer des cuvées spéciales, l’utilisation du manioc de Guyane sera expérimentée en remplacement partiel du malt d’orge, donnant naissance à des whiskys inédits. Ce ne sera pas une première pour la Brasserie Guyanaise, qui produit déjà une bière au manioc.

La légende…

Il est des légendes qui se perdent dans les tréfonds de l’histoire de la Guyane… Des légendes dont on ne saura jamais si elles relèvent de pures fantasmes de marins assoiffés ou d’histoires ayant réellement existées.
Au XVIIIe siècle, des pirates se seraient emparés de plusieurs îles au large de la Guyane…
Durant des décennies, à l’abri des regards, il s’adonnèrent aux trafics les plus lucratifs n’ayant jamais existés sur les routes de l’Eldorado. Les plus ingénieux d’entre eux auraient secrètement démarré la production d’alcool de contrebande.
300 ans plus tard, le whisky de l’île du diable hante encore l’esprit des marins.

POINT TECHNIQUE

L’étiquette

Elle représente notre vision du whisky que nous souhaitons réaliser : de la tradition, de l’excellence et aucune concession sur le choix des matières premières (single malt), du processus de distillation (alambic charentais), du vieillissement minimum de 3 ans dans des tonneaux de chêne français neufs et de rhum vieux. La fiche technique permettra un suivi précis des conditions de vieillissement et ainsi une meilleure comparaison des cuvées qui sortiront chaque année.

« Amateur de spiritueux, quelle belle surprise que de découvrir la naissance en Guyane d’une distillerie autre que de rhum ! Hâte de découvrir le premier whisky Guyanais ! »

Didier J.

Guyane

« Amoureux des whiskys, j’ai hâte de compléter ma cave avec ce whisky guyanais »

Didier T.

Guyane

« Un whisky français d’Amérique du Sud… J’ai hâte de tester cette rencontre culturelle et geographique. »

Renaud T.

Slovaquie

« Congratulations on this daring project! I can’t wait to taste this new creation and see how it compares to the great names in whisky! »

Didier D.

Russie

« Un whisky qui, je pense, nous réserve de belles surprises »

Aurélien N.

Guyane

Hâte d’être en 2028 pour pouvoir célébrer les 30 ans de Bolt and Ladder avec ce nouveau whisky made in guyane.

Arnaud C.

Guyane

« Humble amatrice de whisky, en quête de saveurs nouvelles, j’ai tout de suite adhéré à ce projet de 1er whisky guyanais. Conçu par de vrais passionnés et porté par la maison Jeune Gueule connue pour l’excellence de ses bières, ce whisky se promet d’être exceptionnel et de refléter dignement notre belle Guyane. Il me tarde de le découvrir ! »

Nathalie E.

Guyane

« Thrilled to try this first ever Guyanese whisky, which I hope won’t be as hot as their weather 🙂 »

Terezia T.

Slovaquie

« Amateur et passionné de bon whisky, j’ai hâte de pouvoir déguster cette création qui j’en suis sûre sera top. »

Frédéric S.

France

« Il manquait un spiritueux qui raconte une autre histoire de la Guyane.Ce premier Whisky Péyi va nous surprendre. »

Gérald E.

Guyane

« Un rebondissement dans l’affaire Dreyfus ?
Non, un très beau projet avec ce nouveau whisky Français qui débarque !
Hâte de le déguster : On ressent déjà l’iode, les épices et la tourbe de Guyane ! »

Gérald M.

Guyane

« Je suis très enthousiaste à l’idée de goûter un whisky guyanais. Ce projet promet des produits exceptionnels, qui sauront capturer toute la magie et la diversité de la Guyane »

François Xavier S.

Guyane

« J’ai hâte de découvrir ce premier whisky guyanais qui sera j’en suis persuadé d’une grande qualité car réalisé par des passionnés et des professionnels qui ont déjà démontrés leurs capacités à innover »

Bernard M.

Guyane

La campagne de crowdfunding

Pour financer ce projet exceptionnel, la future distillerie de l’Île du Diable a organisé une campagne de prévente , qui lui a permis de commander la pièce maîtresse de la production : un alambic charentais à repasses de 25 HL. La mise en service de cet équipement est prévue pour le second semestre 2025, avec la première distillation à suivre. Après trois ans de vieillissement dans le climat équatorial du chai de la distillerie de l’Ile du Diable, les premières bouteilles seront commercialisées fin 2028. Ce long processus de maturation est essentiel pour atteindre l’excellence visée, d’autant plus que le climat équatorial offre des conditions uniques qui enrichiront cette production.

Du 14 juin au 29 juillet 2024

Résultat de notre campagne

L’alambic…

Nous optons pour une distillation avec un alambic en cuivre à repasse de type charentais ou « pot still » dans la plus pure traditions des meilleurs whiskys. Ce type d’alambic offre en effet de nombreux avantages pour la production de whisky : il permet une plus grande interaction entre le cuivre et le distillat, en éliminant ainsi les impuretés indésirables et en contribuant à la pureté du produit final. De plus, le « pot still » favorise la rétention des composés aromatiques complexes, donnant au whisky une richesse et une profondeur de saveurs incomparables.

Qui sommes nous ?

La Brasserie Guyanaise existe depuis 2011 et produit les bières Jeune Gueule principalement connues et distribuées en Guyane française. Nous sommes aujourd’hui une équipe de plus de 10 personnes dans les métiers de la production et de la vente. La Brasserie dispose d’une salle de brassage de 40HL et de 10 fermenteurs de 40HL. Nous produisons actuellement environ 2500 HL par an.

Bon là sur la photo, ils ont l’air « méchants » mais c’est le photographe qui l’a demandé !

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